Le 19 septembre 2008 le président russe Dmitrij Medvedev accuse l’OTAN et les États-unis, premiers responsables selon lui de la décision de Géorgienne d’attaquer l’Ossétie du sud le 8 août passé. Medvedev dénonce l’intention de l’OTAN de pousser à nouveau la Russie derrière le rideau de fer.
Toujours selon le président russe, cette réflexion vient naturellement à la suite du discourt prononcé par Condoleeza Rice le jour précèdent, ou elle aurait dit : « Ce sont eux (les Russes) qui ont choisie une voie de développement qui n’est pas basée sur une normale et civile collaboration entre pays, mais en autonomie et derrière des parois épaisses. »
Après nous avoir rassuré que celle-ci n’est pas la nouvelle politique entreprise par la Russie, Medvedev nous rappel que son pays a entreprit une restructuration profonde de son armement, pour défendre au mieux les frontières russes. Personnellement, je dirais aussi celle de ses alliés. Le président porte à exemple le récent conflit Géorgien pour justifier ce renouvellement nécessaire. Il parle de reconstitution d’une flotte navale et des sous-marins nucléaires. Il nous parle aussi d’un système anti-missile de défense du territoire, prévu pour 2020, un peu comme celui qu’ont voulut construire les USA quelques kilomètres plus à l’est de frontière Russe, en Pologne et République Tchèque. Tout compris, en 2009, les russes augmenteront leurs dépenses militaires de 27%.
La Russie envisage aussi de répandre son influence dans le monde. Pour ce faire elle reprend des contacts diplomatiques avec des ex-alliés et surtout elle reprend la politique du système de crédit accordé à différents pays du sud-est asiatique, du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique Latine. Notamment au Venezuela la Russie vend au gouvernement des armes et signe des accords de coopération énergétique. Sur ce fait, le 26 septembre Moscou et Caracas ont signés un accord pour la constitution d’un consortium gaz-pétrolier d’ici le printemps 2009. A cette nouvelle société vont être associé de grands joueurs de l’industrie : Pdusa (société énergétique du Venezuela), Gazprom et Rosmelt (grand joueur à contrôle public russe), Tnk-Bp (joint-venture russo-britannique), Lukoil et Surgutnefgaz (les deux plus grands producteurs d’hydrocarbures en Russie).
L’OTAN renforce son influence dans les ex-républiques russes dans l’est Europe et oblige la Russie à rentrer chez eux après le dépassement des frontières géorgiennes en laissant le front sud un peu plus vulnérable. La Russie, en contrebalance, envisage de renforcer son pouvoir en méditerranée. Elle cherche des accords avec la Syrie pour trouver une base navale pour ses nouveaux navires. Grâce à la bonne entente entre Muammar al-Kadhafi et Vladimir Poutine, les diplomates russes sont déjà en train de négocier un accord avec la Libye pour y trouver dans ses eaux, un autre refuge pour la flotte russe.
Du coté des élections américaines, McCain semble le plus résolu sur l’argument et fait savoir que l’intimidation et autres menaces des leaders russes devront être payées à prix cher. Obama, bien que plus posé, reste tout de même critique sur le développement de l’affaire.
Toujours selon le président russe, cette réflexion vient naturellement à la suite du discourt prononcé par Condoleeza Rice le jour précèdent, ou elle aurait dit : « Ce sont eux (les Russes) qui ont choisie une voie de développement qui n’est pas basée sur une normale et civile collaboration entre pays, mais en autonomie et derrière des parois épaisses. »
Après nous avoir rassuré que celle-ci n’est pas la nouvelle politique entreprise par la Russie, Medvedev nous rappel que son pays a entreprit une restructuration profonde de son armement, pour défendre au mieux les frontières russes. Personnellement, je dirais aussi celle de ses alliés. Le président porte à exemple le récent conflit Géorgien pour justifier ce renouvellement nécessaire. Il parle de reconstitution d’une flotte navale et des sous-marins nucléaires. Il nous parle aussi d’un système anti-missile de défense du territoire, prévu pour 2020, un peu comme celui qu’ont voulut construire les USA quelques kilomètres plus à l’est de frontière Russe, en Pologne et République Tchèque. Tout compris, en 2009, les russes augmenteront leurs dépenses militaires de 27%.
La Russie envisage aussi de répandre son influence dans le monde. Pour ce faire elle reprend des contacts diplomatiques avec des ex-alliés et surtout elle reprend la politique du système de crédit accordé à différents pays du sud-est asiatique, du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique Latine. Notamment au Venezuela la Russie vend au gouvernement des armes et signe des accords de coopération énergétique. Sur ce fait, le 26 septembre Moscou et Caracas ont signés un accord pour la constitution d’un consortium gaz-pétrolier d’ici le printemps 2009. A cette nouvelle société vont être associé de grands joueurs de l’industrie : Pdusa (société énergétique du Venezuela), Gazprom et Rosmelt (grand joueur à contrôle public russe), Tnk-Bp (joint-venture russo-britannique), Lukoil et Surgutnefgaz (les deux plus grands producteurs d’hydrocarbures en Russie).
L’OTAN renforce son influence dans les ex-républiques russes dans l’est Europe et oblige la Russie à rentrer chez eux après le dépassement des frontières géorgiennes en laissant le front sud un peu plus vulnérable. La Russie, en contrebalance, envisage de renforcer son pouvoir en méditerranée. Elle cherche des accords avec la Syrie pour trouver une base navale pour ses nouveaux navires. Grâce à la bonne entente entre Muammar al-Kadhafi et Vladimir Poutine, les diplomates russes sont déjà en train de négocier un accord avec la Libye pour y trouver dans ses eaux, un autre refuge pour la flotte russe.
Du coté des élections américaines, McCain semble le plus résolu sur l’argument et fait savoir que l’intimidation et autres menaces des leaders russes devront être payées à prix cher. Obama, bien que plus posé, reste tout de même critique sur le développement de l’affaire.
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